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 Un petit truc ou des petits trucs... à voir ^^

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Eclen Zen
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Eclen Zen


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MessageSujet: Un petit truc ou des petits trucs... à voir ^^   Un petit truc ou des petits trucs... à voir ^^ Icon_minitimeSam 24 Mai - 21:29

Allez je poste un de mes textes ^^
C'est un passage qui me passait par la tête, sinon j'écris des romans plus long donc là pourrait pas mettre sur le fofo euh


Le plus beau cadeau de Noël qui soit


La neige tombait en ce jour de veille de Noël sur une petite ville de province. Les routes étaient recouvertes petits à petits d’un manteau blanc. Les voitures roulaient plus lentement que d’habitude dans les rues commerçantes. Les magasins étaient tous ouverts et remplis de clients qui effectuaient leurs derniers achats de Noël. Ce soir, toutes les personnes célèbreraient cette fête religieuse, les gens du monde entier fêterait cette soirée. C’était le plus beau jour de l’année qu’attendaient avec impatience les enfants, ces derniers désiraient savoir ce que allaient leur offrir leurs parents.
La rue commerçante était décorée par les guirlandes de Noël, ces dernières représentaient des étoiles filantes, d’autres souhaitaient « un Joyeux Noël »,… il y avait des guirlandes de toutes les formes. Elles étaient toutes plus belles les unes que les autres. La rue était entièrement éclairée par les lumières, les phares de voitures, les lampes des magasins.
Personne ne marchait dans la rue, tout le monde était dans les magasins… enfin tout le monde est un bien grand mot. En effet, une jeune femme aux cheveux châtains clairs avec des mèches blondes marchait seule dans la rue commerçante. La jeune femme était habillée avec une longue veste noire qui cachait un pantalon bleu et un sweet-shirt beige recouvert par une écharpe blanche, elle portait également un sac à main noir au bras droit. Les cheveux de la jeune femme lui arrivaient dans le milieu du dos, des mèches volaient doucement autour de son visage. La jeune personne leva la tête vers le ciel, c’est alors qu’on aperçu son visage. Il était mate, fin et délicat. Elle avait des yeux de couleurs bleu-marron, l’harmonisation était totale entre les cheveux et les yeux de la jeune femme. Le visage de cette dernière lassait paraître qu’elle allait bientôt avoir vingt ans sauf qu’elle en avait dix-huit. Il y avait comme des larmes qui coulaient le long de ses joues. Elle passa sous un lampadaire et la lumière de celui-ci laissa bien voir que la jeune femme pleurait.

Les voitures l’éclairaient de leurs phares, tout en faisant briller les flocons qui ne tenaient que quelques instants sur sa veste. Elle ne prêtait pas attention aux magasins qui se trouvaient autour d’elle, elle marchait droit sans but. Les larmes perlaient sur ses joues, ce qui la rendait encore plus belle.
Elle ne fit pas attention qu’elle passait devant une ruelle sombre, d’où quatre hommes se mirent à la suivre. Elle marchait sans précipitation, ses pas se déposaient sur le trottoir recouvert de neige. Les traces de ses chaussures restèrent quelques instants avant que les empreintes des chaussures des quatre hommes se posèrent sur les siennes. C’est alors qu’un des quatre hommes, qui devait être le chef s’avança, dépassa la jeune femme qui ne fit même pas attention et s’arrêta face à elle.
La jeune femme s’arrêta net lorsqu’elle vit l’individu devant elle. Il avait un grand sourire, des cheveux marron foncé coupés courts. Il portait une grosse veste kaki, un pantalon noir. La jeune femme le regardait dans les moindres détails, elle se doutait que l’homme n’allait pas lui demander son chemin ou quelque chose d’autre. La peur la prenait, elle voulait partir et c’est ce qu’elle fit. Elle se retourna mais ne pu même pas faire un pas car les trois complices de l’homme se tenait derrière elle et ils avaient tous les trois un sourire identique. La jeune femme décida de faire face au chef de la bande, elle s’avança, bouscula l’homme mais elle fut arrêtée dans sa tentative de fuite. En effet, l’homme la retenait au bras qui ne tenait pas le sac à main, c’est alors que la voix de l’homme s’éleva. Il déclara doucement.

« Tu ne vas pas déjà partir ? Et si on s’amusait tous les deux ? Enfin tous les cinq… »
-Lâchez-moi ! Laissez-moi tranquille !
-Sauvage et rebelle… j’aime les jeunes femmes comme toi…

Les trois acolytes rigolèrent, la jeune femme ne partageait pas leur joie. Elle essayait de retirer son bras de la poigne de l’homme mais ce dernier la retenait bien. C’est alors qu’il approcha son visage de celui de la jeune femme. Il passa une main sur une des joues de sa prisonnière, elle détourna le visage de l’autre côté afin de ne pas sentir les doigts de cet homme. Les trois autres arrivèrent et commencèrent à essayer de lui prendre son sac. Pendant ce temps, le chef de la bande de voyous essayait d’embrasser la jeune femme. Cette dernière ne se laissa pas faire alors elle lui donnait du fil à retordre, elle faisait tout pour empêcher ses agresseurs de lui prendre son sac mais aussi d’éviter l’irréparable.
C’est dans ces moments précis qu’on se dit : Pourquoi il n’y a pas de voiture qui passe ? Pourquoi est-ce qu’il n’y a pas une personne qui sort d’un magasin ? Pourquoi est-ce qu’on est seule ? Tant de questions qui n’ont pas de réponse. Tant de violence et de viole qui pourraient être épargnés si il y avait une personne qui réagissait.

Le chef en avait assez de voir que la jeune femme ne se laissait pas faire, il finit par la frapper. La violence du choc la fit tomber à genou sur le sol. Du sang se mit à couler du bord de ses lèvres, elle pleurait en silence. Elle voulait que les hommes s’arrêtent, elle voulait que les coups cessent, elle voulait que quelqu’un vienne à son secours. Oui, elle désirait tout cela, mais il n’y avait personne. Il n’y avait jamais personne dans ces moments là. Et quand vous racontiez les évènements à la police, on vous demandait pourquoi vous n’aviez pas crié. La seule réponse qui vous pouviez donner était qu’il n’y avait personne, seulement la neige pour recouvrir votre corps meurtri, la neige qui vous enveloppait de sa douceur éternelle. Rien sauf le froid, la peur et le désespoir.
La jeune femme se disait qu’elle allait finir là, seule dans la neige. Personne ne regretterait son absence. Les coups des quatre hommes tombaient sur elle, ses cheveux châtain clair étaient étendus sur le trottoir. Le sang qui s’échappait de ses lèvres se répandait sur la neige, la couleur blanche de cette dernière disparaissait pour celle rouge du sang. Le souffle de la jeune femme s’accélérait, ses côtes lui faisaient mal. Les larmes coulaient sans ménagements sur ses joues, elle devait certainement mériter ce qui lui arrivait. La veille de Noël se terminerait certainement pour elle sur un lit d’hôpital ou alors… sur cette neige froide…
C’est alors, que lorsque tout espoir était perdu, la voix d’un homme s’éleva. Les coups s’arrêtèrent, les quatre voyous se tournèrent vers l’intrus, la jeune femme regarda celui qui avait parlé. Ses yeux se fermèrent en reconnaissant la personne qui était venu à son secours, elle connaissait cet homme. Un sourire triste apparu sur son visage, les larmes coulaient toujours sur ses joues.
La voix de l’homme s’éleva de nouveau.

« Vous la touchez encore une fois et… »
-Et quoi ? demanda le chef. Tu es seul et nous sommes quatre. Qu’est-ce que tu vas faire tout seul et surtout…

Le chef de la bande sortit une arme à feu de sa poche. Un sourire mauvais se dessinait sur les lèvres du voyou, mais il y avait également un sourire sur les lèvres de l’intrus. Un sourire qui laissait voir qu’il n’avait pas peur de cet avorton qui se prenait pour le roi. L’homme déclara de nouveau.

« Tu crois que tes balles me feront quelque chose, à moi qui suis un vampire ? »
-Un… vam… vampire…

Le chef des voyous resta figer sur place quand l’homme lui déclara qu’il était un vampire. Ses mains tremblaient sous la peur et cela faisait bouger l’arme à feu. La sueur perlait le long de son visage, les trois acolytes n’avaient pas entendu ce que s’étaient dit les deux hommes. Ils comprenaient juste que leur chef était complètement apeuré par l’intrus.
Le chef allait quand même tiré, mais le vampire ne se tenait plus à dix mètres de lui. En effet, ce dernier s’était déplacé rapidement et il se trouvait à présent devant le chef des voyous. La peur se lisait des les yeux de ce dernier mais le vampire n’y prêta guère attention et avec un sourire il mordit l’homme au cou. L’homme entendait son sang le quitté, il sentait les canines du vampire se planter un peu plus dans son cou. Les trois acolytes étaient figés sur place, il voyait leur chef se faire mordre par le vampire et ils ne réagissaient pas.
Au bout de quelques instants, le vampire ôta ses canines du cou de l’homme et regarda les trois autres qui se tenaient près de la jeune femme. Le corps du chef tomba sur le sol sans que le vampire fasse quelque chose pour le retenir. Au contraire, il s’avança même vers la jeune femme et les trois autres voyous. Ces derniers s’éloignèrent doucement de la jeune femme et allèrent chercher leur chef sans passer à proximité du vampire, qui les regardait avec un regard mauvais. Les trois hommes aidèrent leur chef à marcher car il était juste évanouit et ils partirent sans demander leur reste et surtout sans dire un mot d’excuse.

Le vampire regardait les voyous, mais il porta rapidement son attention à la jeune femme qui s’était redressée et qui cherchait dans son sac un mouchoir afin d’essuyer le sang qui coulait de ses lèvres. L’homme s’approcha d’elle, il posa les genoux en face de la jeune femme et il lui tendit un mouchoir. La jeune personne le prit et s’essuya les lèvres, le tissu prit rapidement une teinte rouge.
Les yeux bleu-marron de la jeune femme se posèrent ensuite sur le vampire. Ce dernier était vêtu d’un manteau noir qui recouvrait un pantalon noir, un sweet-shirt noir qui cachait une chemise blanche. Il avait également une écharpe blanche qui cachait bien son cou du froid. Les yeux de l’homme étaient de couleur marron-noir, ses cheveux étaient marron foncés avec quelques reflets noirs suivant la luminosité qui tombait dessus. Les cheveux du vampire lui arrivaient dans le cou, ils étaient coiffés en bataille. Le visage de l’homme laissait voir qu’il avait une vingtaine d’année et s’était le cas.
Le vampire souriait doucement à la jeune femme qui lui rendit son sourire. Le menton de l’homme avait deux légères traînées de sang, la jeune femme passa délicatement le mouchoir sur le menton du vampire et le sang disparu aussitôt.
La voix de l’homme s’éleva alors doucement.

« Pourquoi es-tu partie Reya ? Je suis allé chez toi mais ta belle-mère m’a dit que tu n’étais pas là. Pourquoi es-tu partie ? »
-J’ai été mise à la porte ; répondit simplement la jeune femme.
-Tu as été mise à la porte ? Pourquoi ? demanda de nouveau le vampire.
-A cause de toi Mathias.
-Hein ? Comment ça à cause de moi ? demanda le vampire.
-Ma belle-mère m’a demandée de choisir entre toi et de rester continuée à vivre chez mon père. Je lui ai clairement dit que je préférais vivre avec toi qu’avec elle, surtout si elle devait m’imposer ses lois comme elle le fait avec mon père…
-C’est tout toi ça. Et qu’est-ce qu’elle a répondu ? demanda Mathias avec un sourire.
-Elle m’a dit que si je franchissais le pas de la porte, que je ne reviendrais pas. Je lui ai répondu que je n’avais nullement l’intention de revenir et que si je devais rentrer se serait pour voir mon père. Et j’ai ajouté avant de partir, que je ne reviendrais surtout pas pour une vipère comme elle.
-Elle n’a rien dû répondre à ça, connaissant ta belle-mère.

Reya sourit sous la remarque de Mathias, qui la serra contre lui. Il posa sa tête dans les cheveux de la jeune femme, il ferma les yeux en sentant la douce chaleur qui s’échappait de la jeune femme. Lui qui pensait ne jamais aimé quelqu’un, il était là pour Reya et seulement pour elle. Il était près à tout pour celle qu’il aimait.
Le père de Reya connaissait la véritable identité de Mathias et il l’avait accepté sans aucun a priori, ce qui d’ailleurs avait surpris le jeune homme. Le père de sa bien-aimée lui avait dit, qu’il préférait savoir sa fille heureuse avec un vampire plutôt qu’avec un humain qui se fiche royalement de sa sécurité et de son bien être. Le père de Reya n’avait rien dit à sa femme, d’ailleurs il ne valait mieux pas. Il avait juste dit que Mathias était un étudiant en droit, ce qui était vrai et qu’il était âgé de deux années de plus que Reya. La belle-mère s’était mise dans tous ses états, Reya et son père n’avaient pas compris pourquoi. Ils avaient d’ailleurs laissé tombé, ils avaient même conclu que la femme était folle !
Mathias se remémorait ses souvenirs étranges, il se rappelait du fou rire de Reya quand elle l’avait vu faire une drôle de tête lorsqu’elle lui avait raconté l’anecdote. Le vampire aurait bien aimé voir sa tête à ce moment là. Mais ce qui comptait le plus pour lui était de savoir Reya heureuse avec lui.
Le vampire se rappela de leur rencontre, ils s’étaient croisés un an plus tôt à la sortie du lycée de Reya. Elle l’avait bousculée sans faire exprès, elle s’était excusée comme jamais et lui il avait juste répondu que ce n’était pas grave. Il avait même aidé la jeune femme à ramasser ses livres. Mathias sourie en se remémorant cet évènement qui marqua à jamais sa vie. Après cette rencontre quelque peu étrange, il avait commencé à l’observer de loin et deux mois après, il avait décidé de lui parler. Ils apprirent à se connaître et trois mois plus tard, ils sortaient ensemble. Ils étaient inséparables et même maintenant. Reya avait eu un peu peur quand il lui avait avoué qu’il était un vampire mais elle lui assura que pour elle, qu’il soit vampire ou humain cela ne changerait pas ses sentiments envers lui.
Mathias prenait un certain plaisir à se remémorer ses doux souvenirs qui illuminait sa vie. Le vampire finit par déclarer au bout de quelques minutes. Ils étaient d’ailleurs toujours sur le trottoir.

« Je suis heureux d’être auprès de toi Reya. Tu illumines ma vie de vampire à chaque instant. Moi qui étais froid comme la neige, tu me réchauffes doucement de tes rayons. »
-Ton hiver fera place à mon printemps ; déclara doucement Reya.
-Oui se sont les mots. Je t’aime de tout mon cœur ; dit Mathias qui serra plus fort la jeune femme contre lui.
-Je veux rester auprès de toi, toute ma vie ; fit Reya d’une voix douce et amoureuse.

La jeune femme leva la tête vers Mathias, ce dernier pu voir les larmes qui perlaient sur ses joues. Un sourire était visible sur les visages des deux jeunes gens, le vampire déposa ses lèvres sur celles de sa bien-aimée. Le baiser était doux et délicat, la neige tombait autour et sur les deux amoureux.
Les lèvres de Mathias se retirèrent de celle de Reya et il dit doucement.

« Si on rentrait à présent ? »
-Oui ; répondit Reya.

Le jeune homme aida la jeune femme à se lever, il prit le sac à main de cette dernière. Le vampire prit dans sa main gauche, la main droite de Reya. Ils s’adressèrent un sourire et ils rentrèrent ensemble dans leur chez eux.
La neige tombait toujours, Noël serait le plus beau pour le jeune couple. Un amour réciproque malgré les grandes différences qu’il existe entre Mathias et Reya.


Aimer et être aimer est le plus beau cadeau que l’on puisse faire à quelqu’un. Le plus beau cadeau de Noël au monde est bien l’amour qui uni deux personnes malgré les différences de race…
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